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Miscellanées de ces gestes qu’on avait oubliés Abonnés
Le 10 janvier 2024

18 mars 1993 : Kombouaré casque d’or

Stoppeur et poète, en 1993, Antoine Kombouaré bout sur le banc du PSG. Il ne comprend pas pourquoi il passe derrière Alain Roche et Ricardo. Il frôle même le clash avec son président, Michel Denisot. Tout change en quart de finale retour de Coupe UEFA contre le Real Madrid. Il marque le but de la victoire, d’un coup de tête, à la fin du temps additionnel. En un geste, il devient héros, mascotte et même titulaire, au point, finalement, de prolonger son séjour à Paris. Et d’y revenir, quelques années plus tard, comme coach.


26 juin 1996 : Le penalty raté de Pedros

Le coup du penalty raté, qui précipite l’élimination de son équipe, ça arrive à tout le monde. Roberto Baggio s’en est relevé. Pas Reynald Pedros. Il a vu ses rêves de finale d’Euro 96 s’envoler. Membre essentiel du grand Nantes, convoité par Barcelone, il est hué à son retour en bleu. Il sera ensuite en échec à Marseille, Parme, Naples, Lyon, Montpellier, Toulouse, Bastia et même… Nazareth. C’est bête, au moment de s’élancer, il n’avait que 24 ans, pas 33.


22 février 2006 : Del Horno, première victime de Messi

L’année précédente, le Barça s’était fait sortir en huitièmes par Chelsea. Alors, au moment de prendre sa revanche au même stade de la compétition, Rijkaard sort de sa boîte un Argentin de 18 ans qui commence à faire parler de lui en Liga. Dès le début de match, l’atmosphère est irrespirable. Léo Messi est intenable. Ses crochets rendent fou son latéral, le pourtant prometteur Asier Del Horno. Mourinho l’a fait venir de Bilbao pour 20 millions d’euros quelques mois plus tôt. À la 37e minute, l’Espagnol pète les plombs. Alors que Messi déborde Robben, il revient à fond de cale...

Miscellanées de ces gestes qu’on avait oubliés

18 mars 1993 : Kombouaré casque d’or

Stoppeur et poète, en 1993, Antoine Kombouaré bout sur le banc du PSG. Il ne comprend pas pourquoi il passe derrière Alain Roche et Ricardo. Il frôle même le clash avec son président, Michel Denisot. Tout change en quart de finale retour de Coupe UEFA contre le Real Madrid. Il marque le but de la victoire, d’un coup de tête, à la fin du temps additionnel. En un geste, il devient héros, mascotte et même titulaire, au point, finalement, de prolonger son séjour à Paris. Et d’y revenir, quelques années plus tard, comme coach.


26 juin 1996 : Le penalty raté de Pedros

Le coup du penalty raté, qui précipite l’élimination de son équipe, ça arrive à tout le monde. Roberto Baggio s’en est relevé. Pas Reynald Pedros. Il a vu ses rêves de finale d’Euro 96 s’envoler. Membre essentiel du grand Nantes, convoité par Barcelone, il est hué à son retour en bleu. Il sera ensuite en échec à Marseille, Parme, Naples, Lyon, Montpellier, Toulouse, Bastia et même… Nazareth. C’est bête, au moment de s’élancer, il n’avait que 24 ans, pas 33.


22 février 2006 : Del Horno, première victime de Messi

L’année précédente, le Barça s’était fait sortir en huitièmes par Chelsea. Alors, au moment de prendre sa revanche au même stade de la compétition, Rijkaard sort de sa boîte un Argentin de 18 ans qui commence à faire parler de lui en Liga. Dès le début de match, l’atmosphère est irrespirable. Léo Messi est intenable. Ses crochets rendent fou son latéral, le pourtant prometteur Asier Del Horno. Mourinho l’a fait venir de Bilbao pour 20 millions d’euros quelques mois plus tôt. À la 37e minute, l’Espagnol pète les plombs. Alors que Messi déborde Robben, il revient à fond de cale...

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