S’il y a bien une matière à débats sans fin, c’est celle des coachs. Un sujet vaste et passionnant. Alors, par où commencer ? J’ai envie d’aller en Argentine. J’ai toujours considéré que c’était une sorte de Terre Sainte pour le sujet.

Le 24 janvier dernier Jürgen Klopp a annoncé qu’il quitterait ses fonctions d’entraîneur de Liverpool. Après neuf saisons passées sur le banc des Reds, le coach allemand, rincé, s’inscrit dans une vieille tradition sur les bords de la Mersey.

Quand un club de Ligue 1 les appelle, c’est que la situation est désespérée. Voici les 10 commandements du pompier de service.

Ces quelques pointillés devant le banc de touche rappellent que les entraîneurs ne sont pas faits comme nous. La zone technique est une cage à dingos.

Coincé entre une obligation de résultats immédiats et la maturation d’une préparation de haut niveau, l’entraîneur est dans une impasse. Comment ne pas devenir fou ?

Rares sont les techniciens de club, voire d’équipe nationale, exerçant sur le continent africain à ne pas avoir connu de pépins. De quoi renforcer leurs capacités d’adaptation et fortifier leur mental.

Miguel Ángel Sánchez Muñoz, 48 ans, dit « Michel » (prononcer Mitchèle) est l’auteur d’un miracle nommé « Girona ». Le club est membre du City Group, comme Troyes, mais son budget n’est que de 60 millions d’euros, autant que Strasbourg. Son équipe a pourtant marché sur le toit de l’Espagne. Rencontre avec la plus grosse surprise de la saison...

Il y a les crises de nerfs, les colères, les burn-out et les dépressions. Il y a ceux qui n’en peuvent plus, mais n’osent pas le dire. Ceux qui désespèrent de ne pas en être et ceux qui en sont mais n’en peuvent plus. Et puis, il y a Paulo Fonseca. À Lille depuis deux saisons, l’ancien entraîneur du Chakhtar...

Chérif Ghemmour : «surtout pas !» Entendre les arbitres motiver leurs décisions ne les rendra pas plus humains. Au contraire.

Johann Crochet: «humain et respectueux»À 33 ans, Eden Hazard prend sa retraite. Ce bon vivant n’a jamais considéré son métier autrement que comme un jeu d’enfant. Hommage.

Autant que je me souvienne, je n’ai jamais voulu être communiste. J’ai grandi avec l’idée que j’étais du bon côté du mur. Ça ne m’empêche pas d’être toujours reconnaissant envers la mairie PCF de Ris-Orangis, à qui je dois les films « pas chers » qui ont entretenu ma passion et ma culture ciné.

1957. L’insurrection de Budapest a été réprimée dans le sang par les chars soviétiques. Ferenc Puskás est en exil. Le major galopant erre dans les rues de Vienne…

Bruno Satin, notre agent 001, s’assoit au coin du feu et nous raconte l’une de ses aventures. Direction les Balkans.

Supposé infranchissable, le rideau de fer a été beaucoup troué par le ballon rond. Ce qu’on voyait à travers était à la fois semblable et différent, familier et exotique, promesse d’une terre inconnue à découvrir.

Les seventies, c’est l’âge d’or du football polonais. Mais plus que les JO 72 ou la Coupe du monde 74, la mémoire collective retient… un match nul à Wembley, en octobre 1973.

En décembre 1991, l’URSS s’effondre et plusieurs clubs mythiques du football européen disparaissent. Quelques semaines plus tard, naît la Premier League. Et si le football avait pris la place du communisme ?

Pas sûr, naturellement, que tous ces joueurs aient envie de jouer ensemble, de se prendre bras-dessus, bras-dessous au moment de chanter les hymnes nationaux. Mais sur le papier, cette équipe « Bloc de l’Est » est capable, haut la main, d’aller au bout de l’Euro 2024, voire de la Coupe du monde 2026. Ça n’arrivera pas, puisque ses onze membres...

On connaît la chanson, au début, c’est l’amour fou, ensuite, on se dispute et à la fin, on se déchire devant le juge. Les histoires de coachs finissent mal, en général.

Parfois, les clashs de l’After frôlent l’incident diplomatique. Parmi les sujets à fort potentiel de dérapage, les erreurs d’arbitrage et la VAR. Et ce soir-là…

Par David Gluzman, Thibaud Leplat et Daniel Riolo

Je suis fasciné depuis toujours par la prodigieuse versatilité de la mode, cette capacité à décréter qu’une dégaine honnie devient subitement parangon du bon goût. Autant que par sa faculté de s’arroger la paternité d’un style dont elle ignorait tout un quart d’heure plus tôt.