« Laisser sa chance aux produits » et « payer pour voir » sont des évidences en la matière mais l’observation régulière, depuis de très nombreuses années, des prestations footballistiques des « clubs-entreprises » de Ligue 1, tant à l’échelle nationale qu’à l’échelle européenne, nous rend de plus en plus sceptique sur la qualité du jeu proposé quand l’hiver aura dilué les effets du soleil et de la vitamine D sur les corps engourdis et fatigués.
Dans ce contexte d’incertitudes joyeuses ou fatalistes, tout est une question de nature personnelle, le Paris-Saint-Germain-en-Laye conserve sa spécificité récurrente, à savoir maintenir les « soucis » à hautes intensités quelle que soit la période de l’année.
Le point nodal étant, en ce mois de juillet 2023, le dossier Kylian Mbappé.
Même si je n’étais pas présent lors de la signature et que je n’ai pas lu l’ensemble des astérisques qui doivent truffer les documents contractuels, il apparaît évident que le joueur est en position de force et que pour bâtir une telle issue, à savoir laisser, éventuellement, partir libre un tel joueur, obligation est d’affirmer que ce club richissime est dirigé par des incompétents notoires « dans les services de la comptabilité » ! Sauf à considérer, bien sûr, que ce « club-État » se moque éperdument des règles fondamentales de gestion des économies réelles.
Ces différents feuilletons annuels autour de ce joueur et les désastreuses communications des deux parties finissent même par agacer les « ultras-sympathisants-supporters » parisiens, voire les banals observateurs français qui faisaient du « Kyki » le gendre idéal.
Sans vouloir entrer dans un débat passionnel car je n’ai jamais ressenti d’émotions sur le registre « amour-haine » à l’égard d’un joueur de football, quels que soient le pays et la génération, force est de reconnaître que le «...
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