Sans entrer dans l’intimité d’une bien inutile et prétentieuse autobiographie, je me contenterais de signaler que mon pôle d’observation annuelle (d’où parlez-vous, comme disaient les soixante-huitards...attardés ?!) est celui d’un retraité de 67 ans en février 2024, « ch’ti-belge » de naissance et de Culture, appréciant à sa juste valeur les joies de la méditerranée pour la retraite !
1 : le Paris Saint-Germain : « année de transition ! », clament les dirigeants qataris. Certes, des variations importantes dans l’effectif et le staff ont été enregistrées (12 arrivées et 11 départs définitifs) comme, d’ailleurs, dans la plupart des « entreprises-clubs » européennes où, en ce premier quart de XXI°, le business crée des mouvements permanents dans les groupes.
Mais avec 297 millions d’euros dépensés* en recrues, en attendant le « mercato » hivernal, dont 5 font partie des douze transferts entrants les plus onéreux de l’Histoire du club, il va être très difficile de « faire pleurer dans les chaumières ». Pour l’instant, le jet privé parisien vole sans trop de turbulences : les joueurs donnent l’impression d’être un peu plus concernés que la saison passée et mieux guidés en équipe ; le coach, en dépit de ces innovations permanentes, semble « tenir son groupe » ; la Ligue1, désespérément ennuyeuse, est pratiquement dans la poche et si la qualification pour les 1/8èmes de finale de la Ligue des Champions, dans un groupe assez homogène, n'a pas été la conséquence de productions très spectaculaires, elle évite, au moins, le ridicule d’une crise plus précoce que d’habitude.
Relativement épargné par le tirage au sort qui lui offre une équipe espagnole particulièrement agréable à voir jouer mais sans expérience à ce niveau, le Paris Saint-Germain peut envisager raisonnablement une poursuite de l’aventure européenne.
Comme très souvent à Paris, dans les rencontres...
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