D’une part, parce que ce « club-État » qui joue dans le championnat de France n’est pas un club français qui aurait éventuellement pu attendrir une fibre « nationaliste » mais un club 100% qatarien et, surtout, parce que l’argent que cet État distribue sans limite est loin d’être dépourvu d’odeurs, même s’il n’en a pas le monopole sur la planète, j’en conviens aisément.
Vouloir masquer le fait, dans une tentative « politico-médiatique » parisienne de créer « l’union sacrée nationale » autour du Paris Saint-Germain, que cet argent particulièrement sale arrose avec une hypocrite synchronicité des nébuleuses terroristes, des associations islamistes radicales, tout le football national et des pans entiers de l’économie française m’apparaît indéfendable.
Est-il encore, en effet, possible de brandir en 2024 la pancarte -éthique- lorsqu’il s’agit d’économie et qui plus est d’« économie du sport », telle est la question centrale, bien avant l’appréhension des prouesses « technico-tactiques » ?
D’autant plus, utile rappel pour les « idiots utiles » de ce système, que tous ces investissements (rachat de dettes, immobiliers, clubs, usines ...) ne seront pas sans contreparties dans les années à venir ; l’oublier est une naïveté dommageable : le Qatar aura irrémédiablement un pouvoir et une influence sur l’Économie et sur la décision politique concomitante, c’est à dire la souveraineté nationale, déjà bien en péril.
Au-delà de cette contextualisation générale, indispensable pour maitriser nos émotions footballistiques, revenons au cœur de notre propos, à savoir la gifle aux directions multiples.
Sans aucune hiérarchie dans la présentation et dans une approche systémique, je choisirais trois angles différents :
La gifle au « Qatar-PSG
Dépenser près de 350 millions d'euros au cours du « mercato » estival et satisfaire aux désirs offensifs de Monsieur Kylian Mbappé pour ne pas réussir à marquer le moindre but, en...
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