Clément R. (22 ans) est supporter du HAC et de l’After (qui lui apporte souvent plus d’émotions que son équipe de cœur). Il est abonné à la revue After Foot.
Voilà maintenant quelques jours que je voulais écrire un article sur Guardiola, et la victoire à l’arrachée contre Dortmund à Domicile (2-1) m’en donne l’occasion, ne faisant que confirmer mes intuitions.
Guardiola, Pep pour les intimes, on ne le présente plus. Un palmarès long comme le bras : 14 trophées avec le Barça (dont 2 Ligues des champions en 2009 avec le sextuplé historique pour sa première saison, et en 2011), 7 avec le Bayern, 8 avec City, bien parti pour remporter encore une fois le championnat d’Angleterre grâce à ses 25 victoires sur les 26 derniers matchs toutes compétitions confondues.
Et pourtant, la victoire contre un Dortmund au fond du trou a été chanceuse. On n’a pas reconnu le City qui survole ses adversaires. Ou plus exactement, on a reconnu le City du printemps en Ligue des champions. La dernière victoire en LdC de Pep remonte à 2011, soit seulement un an après la victoire de Mourinho, que tout le monde annonce fini… alors même que ce dernier a gagné une Coupe d’Europe en 2017, bien que ce ne soit « que » la Ligue Europa.
Guardiola, ayant tout gagné avec le Barça, veut rentrer encore plus dans la légende et faire taire ses (très rares) détracteurs qui pourraient dire qu’il n’a gagné que dans un seul club, son club formateur. Il quitte donc son cocon (ce que n’a jamais osé faire Messi) en 2012, direction : le Bayern Munich. Il se retrouve donc à la tête de la meilleure équipe européenne du moment, qui venait de gagner la Ligue des champions à peine un mois auparavant, et devient l’entraîneur le mieux payé...
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