[RENDEZ-VOUS] Chaque lundi, l'After vous invite à inscrire dans les commentaires une affiche dont vous revez. La finale la plus plébiscitée vous sera ensuite racontée par notre chroniqueur la semaine suivante et ainsi de suite. Cette semaine : France-Belgique (proposé par RedSwan).
Il est 20 heures 55 lorsque les deux équipes pénètrent sur la pelouse pour la revanche de la demi-finale 2018. Il fait 23 degrés à Wembley où il tombe une légère bruine sur De Bruyne et ses coéquipiers. C'est un temps idéal pour jouer au football, c'est pourquoi Deschamps a laissé Sissoko et Zouma sur le banc. Au micro de la RTBF, Thierry Henry vient de glisser qu'il s'était « toujours senti un peu belge dans l'âme ». Dans la tribune présidentielle, Emmanuel Macron donne de la voix pour encourager l'équipe qui a entre ses pieds sa dernière chance d'être réélu. Le président belge du conseil européen, Charles Michel, invite quant à lui sa femme à aller s'asseoir sur les marches avec Ursula von der Leyen.
Face à face, les deux meilleures équipes du tournoi et les deux meilleurs buteurs, Lukaku et Benzema, cinq buts chacun. Devant leur poste, les Belges et les Français retiennent leur souffle, les joueurs, eux, chantent avec le leur. La Dèche implore son animal préféré et Thibaut Courtois invoque les dieux de la possession. En voulant monter le son de sa télécommande, Ousmane Dembélé se blesse gravement et se casse deux phalanges. L'arbitre siffle le début des hostilités.
Le début de match est à l'avantage des Belges. Eden et son frère Thorgan dominent la bataille du milieu et se montrent dangereux, confirmant ainsi qu'il ne faut jamais rien laisser aux Hazard. A la 19e minute, bien qu'il vît Witsel seul dans l'axe, De Bruyne choisit de décaler Carrasco sur le côté. L'ancien monégasque accélère...
Contenu disponible gratuitement
61 % de ce contenu restent à découvrir !
Pour accéder à la totalité des contenus gratuits, vous devez vous connecter ou créer un compte.