Nous savions déjà que la Coupe du Monde 2026 serait la première édition à 48 équipes. Le premier élargissement depuis 1998. De 24 nous sommes passés à 32, ce qui présentait l'avantage indéniable de nous débarrasser du système des meilleurs troisièmes qui existe pour l'Euro depuis 2016 et que nous déplorons tous.
Nous savions déjà aussi que cette 23e Coupe du Monde de la FIFA se tiendrait également au Canada, aux États-Unis et au Mexique. Plus d'équipes qualifiées, ça implique un espace plus grand pour la tenue d'un plus grand nombre de matches. Sur le fond, ça s'entend. Mais de base, j'étais opposé à cet élargissement. Comme je suis contre un retour à 24 et encore plus à 16. Une Coupe du Monde à 32 c'était très bien. L'universalisme du football était respecté par la participation et donc la mise en lumière des petites nations ainsi que des nations émergentes.
Mais là où Jean l'Enfant, comme le surnomme avec malice l'Etna de l'Essonne, est allé encore plus loin, c'est dans l'attribution de la Coupe du Monde suivante, prévue pour 2030. Voire celle de 2034.
Sur la forme, déjà. Il a décidé ça tout seul, en monarque absolu. Ce qu'il est. Certes, nombre d'attributions sur dossier et vote du comité exécutif de la FIFA sont frauduleuses. Les 2 dernières, mais aussi Allemagne 2006. Mais croyez-vous vraiment que l'oukase décrété par Infantino, qui de prime abord paraît rompre avec l'hypocrisie d'antan, soit une solution à ce problème mis en lumière par le scandale dit FIFA Gate et pris à bras le corps en 2015 par le FBI ? La réponse est NON !
Sur le contenu, ensuite. Le tournoi 2030 aura lieu en Uruguay, en Argentine et au Paraguay. Cela se veut un hommage à l'édition inaugurale de la Coupe du Monde,...
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