Il y a quelques jours après la nouvelle humiliation subie par le PSG face au real Madrid, l’inénarrable chroniqueur de l’After a proposé ses services au club de la capitale de manière mi sérieuse mi farceur. Alors imaginons deux secondes l’émir du Qatar souhaiter tourner la page Nasser et nommer Daniel Riolo président du club parisien…
Un président venant du cru et aimant le club
Ceux qui suivent le football savent que pour être un bon président de club, il faut être du cru ou à minima s’adapter au terrain comme Marc Keller à Strasbourg ou le président lensois Oughourlian. Daniel Riolo justement est né en région parisienne en 1970 (année de la création du club), fréquente le Parc des Princes régulièrement et écume les télés et radios sportives depuis plus de 20 ans. Et le voilà nommé par l’émir du Qatar à la tête du club parisien. Tout de suite l’info fait l’effet d’une bombe dans le milieu, car le personnage est connu et n’a pas que des amis parmi ses confrères et autres journalistes de l’Équipe. Ça ne loupe pas : dès sa première conférence de presse en tant que président, les attaquent pleuvent. Répondant à ces attaques injustifiés, il clame son amour du club, de la ville, sa passion du ballon rond transmise par son père et le fait qu’il n’a jamais été sujet de quelques compromissions avec des entraineurs/présidents/joueurs durant sa carrière de journaliste. On l’aura compris, les relations entre le club numéro 1 en France et le seul journal sportif français national ne s’arrangeront pas avec l’arrivée du président Riolo.
Une structure construite avec des anciens du club
Qui dit nouveau président, dit nouvelle équipe et réorganisation totale de stratégie. Avec le président Riolo, exit Leonardo et une bonne partie de l’effectif communicationnel. Allègre et...
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