Versailles, Nice, Monaco, Nantes. Voici les quatre derniers clubs à pouvoir prétendre remporter la Coupe de France, 105e du nom. Ne remarquez-vous rien d'inhabituel en lisant ces noms ? Il manque le Paris Saint-Germain. L'ogre des compétitions domestiques a été vaincu en huitièmes de finale par les Aiglons niçois, dans des conditions qui ont fait tenir à notre Daniel Riolo national des propos particulièrement mal accueillis du côté de l'Allianz Riviera. Et non seulement ils ont tenu à le lui faire comprendre, mais en plus ils lui ont répondu. En battant l'OM en quarts de finale 4-1, et en jouant un football chatoyant. Comme quoi on peut combiner jeu et résultat sans être le Barça de Guardiola. Vraisemblablement la décla de notre ami Daniel avait pour unique but de provoquer cette réaction d'orgueil de la part des azuréens. Auquel cas, mission accomplie.
Même si les propos tenus par Daniel le soir du 31 janvier ont rencontré beaucoup de désapprobation, mais aussi un peu d'approbation, il y a quelque chose d'absolument incontestable qui ressort de ce huitième de finale au Parc des Princes qui a vu les locaux quitter prématurément la compétition. À compter de l'instant où Marcin Bulka a repoussé le tir au but de Xavi Simons, pour tous les clubs alors encore en jeu, l'horizon s'est dégagé. Ils ont eu soudainement autoroute devant eux pour achever leur saison avec un nouveau titre à leur palmarès.
En cette année où nous fêtons le 400e anniversaire de Molière, je vous en prie, ne jouez pas les Tartuffe ! Après tout, le slogan de l'After n'est-il pas de dire tout haut ce que le monde du football pense tout bas ? Je crois bien que si ! Alors je persiste et je signe : l'élimination du PSG a sacrément relancé la Coupe...
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